Chez les enfants : « Elle a des difficultés d’apprentissage », Il se tient mal », « Il est agité », « Elle est maladroite », « C’est un grand stressé », « Il a du mal à tenir son stylo », « Elle est distraite ou rêveuse » …

Chez les adultes : « Je suis distrait », j’ai des problèmes de posture », j’ai des douleurs au dos, hanches, genoux, épaules …

Voici des petites phrases souvent utilisées pour qualifier des enfants ou adultes qui vont parfaitement bien mais pour lesquels de petites choses viennent compliquer leur vie. Il y a souvent beaucoup de souffrance derrière ces mots. Les enfants ne choisissent pas d’être comme ça et les parents ne comprennent pas pourquoi malgré tout leur dévouement, leur enfant « n’y arrive pas ». Il est fréquent qu’un travail rigoureux sur les réflexes archaïques viennent débloquer en quelques séances des souffrances de longue date.

La question qui arrive souvent c’est:

« De qui est-ce la faute? »

La faute de personne. Si vous vous cassez le bras, il est logique d’aller à l’hôpital, faire une radio et se faire plâtrer par exemple pour que votre fracture guérisse. Pourtant, immobiliser un bras, ce n’est pas bon, mais dans ce cas précis, c’était important de passer par la case « immobilisation ». Concernant les réflexes, c’est le même. Parfois, une césarienne est nécessaire ou une immobilisation ou …

Une première séance d’au moins une heure est nécessaire dans le but d’identifier les réflexes en difficulté et établir un protocole. Par la suite, nous procéderons à une intégration des réflexes à l’aide de mouvements.

L’apprenant devra ensuite réaliser quotidiennement des exercices à domicile pendant 1 à 3 semaines. Un nouveau rendez-vous est à nouveau fixé dans le but de continuer le traitement. Les effets pourront être visibles à différents niveaux : physique ( coordination et posture ), cognitif ( apprentissage et réflexion ), émotionnel, comportemental, relationnel.